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La drogue

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drogue, on se sent extrêmement mal ; et "l'évasion" recherchée aboutit

concrètement à une existence totalement assujettie au produit.

|Tout le monde est dépendant : le bébé à sa mère, l'adulte à son | |

|travail, par exemple. Mais la dépendance est plus ou moins supportable.| |

|L'addiction à l'héroïne, par exemple, est très pesante ; elle est | |

|physique, psychologique, totale. Pourquoi est-on toxicomane ? En | |

|France, Sylvie Geismar-Wieviorka a cru reconnaître chez tous les | |

|toxicomanes qu'elle a rencontré un meme besoin d'absolu, une quête de | |

|liberté totale et de bonheur illimité. Les Grecs anciens avaient décrit| |

|ce comportement par le mythe d'Icare : dans son envol vers le soleil, | |

|Icare, l'utopiste, s'était brûlé les ailes. A la recherche du bonheur | |

|absolu et de la liberté totale, les hommes n'ont souvent, comme Icare, | |

|trouvé que déchéance et tyrannie. | |

Le Cannabis

De plus en plus répandu, l'usage du cannabis concerne aussi bien les jeunes

que les moins jeunes. Banalisés, le joint est le 1er produit illicite

consommé. Au point qu'on ne sait plus s'il est légal ou pas et quels en

sont les dangers réels. Un point complet à l'usage des usagers, de leurs

proches et de ceux qui veulent en savoir plus.

Le cannabis qu'est-ce que c'est, et à quoi ça ressemble ?

Le cannabis est une plante. Il se présente sous trois formes différentes :

- l'herbe (marijuana) : feuilles, tiges et sommités fleuries, simplement

séchées. Se fume généralement mélangée à du tabac, roulée en cigarette

souvent de forme conique (le stick, le joint, le pétard...).

- le haschich (shit) : résine de la plante, obtenue en raclant les

feuilles et en y ajoutant la poudre obtenue des plants séchés et secoués.

Se présente sous la forme de plaques compressées, barrettes de couleur

verte, brune ou jaune selon les régions de production. Se fume

généralement mélangé à du tabac et plus rarement consommé sous forme de

préparations culinaires.

Le haschich peut être coupé avec d'autres substances plus ou moins

toxiques comme le henné, le cirage, la paraffine…

- l'huile : préparation plus concentrée en principe actif, consommée

généralement au moyen d'une pipe. Son usage est actuellement peu répandu.

Effets et dangers du cannabis

Les usagers de tous âges consomment généralement pour le plaisir et la

détente. Les effets de la consommation de cannabis sont variables : légère

euphorie, accompagnée d'un sentiment d'apaisement et d'une envie spontanée

de rire, légère somnolence. Des doses fortes entraînent rapidement des

difficultés à accomplir une tâche, perturbent la perception du temps, la

perception visuelle et la mémoire immédiate, et provoquent une léthargie.

Ces effets peuvent être dangereux si l'on conduit une voiture, si l'on

utilise certaines machines sous l'effet de l'ivresse cannabique.

Les principaux effets physiques du cannabis peuvent provoquer selon la

personne, la quantité consommée et la composition du produit,

l'augmentation du rythme du pouls (palpitations), la diminution de la

salivation (bouche sèche), le gonflement des vaisseaux sanguins (yeux

rouges), et parfois, la sensation de nausée.

Les effets nocifs du cannabis sur la santé sont à certains égards moins

importants que ceux d'autres substances psychoactives. L'appareil

respiratoire est exposé aux risques identiques à ceux du tabac (nicotine et

goudrons toxiques), et les risques sont amplifiés dans certaines conditions

d'inhalation (pipes à eau, " douilles ").

Toutefois, certains effets, mal perçus de la population et des

consommateurs, ont déjà des conséquences importantes et marquent

l'existence d'un usage nocif : difficultés de concentration, difficultés

scolaires, préoccupations centrées sur l'obtention du produit, contacts

avec des circuits illicites.

Chez certaines personnes plus fragiles, le cannabis peut déclencher des

hallucinations ou des modifications de perception et de prise de conscience

d'eux-mêmes : dédoublement de la personnalité, sentiment de persécution.

Ces effets peuvent se traduire par une forte anxiété. Un usage nocif de

cannabis peut favoriser des troubles psychiques.

|Cannabis et dépendance | |

|L'usage répété et l'abus de cannabis entraînent une dépendance | |

|psychique moyenne à forte selon les individus. En revanche, les | |

|experts s'accordent à dire que la dépendance physique est minime.| |

|Toutefois, un usage régulier, souvent révélateur de problèmes, | |

|est préoccupant, surtout lorsqu'il s'agit de très jeunes usagers.| |

Le cannabis est un produit illicite.

Originaire des contreforts de l'Himalaya, le cannabis (ou chanvre indien)

est utilisé par l'homme depuis des millénaires ; d'où sa diffusion vers le

continent indien puis vers l'Extrême-Orient, le Moyen-Orient puis l'Europe.

Cultivé pour ses fibres destinées à la fabrication de cordages, de papiers

et de tissus, sa résine était utilisée autrefois en tant que spasmolytique,

hypnotique et analgésique.

Introduit en Europe au début du 19è siècle par les soldats de Bonaparte et

par des médecins anglais de retour des Indes, le cannabis fut utilisé en

médecine pour le traitement des migraines, de l'asthme et de l'épilepsie.

Consommation : les chiffres d'une réalité française

Un peu plus de 6 millions de personnes de 15 à 44 ans déclarent avoir

consommé du cannabis une fois dans leur vie, soit un homme sur trois et une

femme sur cinq.

. 7,5% des adultes de 18 à 44 ans (1,8 millions de personnes) déclarent

avoir consommé du cannabis au moins une fois dans l'année.

. Entre 23 et 34% des jeunes de 15 à 19 ans (environ 1 million de

personnes) déclarent consommer du cannabis au moins une fois dans

l'année.

. Environ 11% des jeunes de 15 à 19 ans (400 000 jeunes) déclarent

consommer du cannabis au moins 10 fois au cours de l'année.

. En 1997, 23% des personnes qui demandent du soin sont en difficulté avec

le cannabis. L'âge moyen de ces usagers était de 25 ans.

. Aucun décès lié à l'usage de cannabis n'a été recensé par la police

jusqu'à maintenant. Néanmoins, depuis juin 1999, la loi prévoit la

recherche de cannabis chez les conducteurs impliqués dans un accident

mortel.

. 73 000 usagers et usagers revendeurs de cannabis ont été interpellés en

1998. Leur âge moyen était de 22 ans. Le nombre d'usagers de cannabis

interpellés a fortement augmenté en quelques années et représente une

part croissante de l'ensemble des interpellations pour usage de

stupéfiants (85% en 1998).

Un peu plus de 3 000 personnes ont été interpellées pour trafic de cannabis

en 1998.

| | | |

Tendance statistique : la consommation déclarée de cannabis est en hausse,

en particulier chez les jeunes

L’Ecstasy

Pilule-performances, pilule-fêtes, potion magique ? De plus en plus

répandue dans le monde, l'ecstasy pour certains ne serait même pas une

drogue. Ah bon ? Le point sur une pilule chimique et dangereuse.

L'ecstasy qu'est-ce que c'est, et à quoi ça ressemble ?

L'ecstasy appartient à la famille des amphétamines. Ce produit fait partie

d'une nouvelle série de produits apparus avec l'évolution de la chimie :

les drogues de synthèse. Elles sont fabriquées dans des laboratoires

clandestins par des chimistes qui tentent de créer des produits inédits en

faisant la synthèse de molécules dont l'action est beaucoup plus puissante

que celle des substances naturelles. L'apparition massive de l'ecstasy est

liée à l'émergence du mouvement musical techno et l'organisation de rave

parties.

Depuis une dizaine d'années, on assiste en Europe à un développement de la

consommation d'ecstasy. En France, en 1996, 5% des jeunes hommes de 18 à 23

ans vus dans les centres de sélection du service national déclaraient avoir

déjà pris de l'ecstasy et la proportion de jeunes adultes (principalement

des hommes, bien insérés socialement) en ayant consommé au moins une fois

pourrait atteindre 5 %.

|L'ecstasy se présente sous la forme de comprimés de couleurs et de |

|formes variées ornées d'un motif. Son principe actif responsable des |

|effets psychoactifs est la MDMA (" 3,4 méthylènedioxyméthamphétamine ").|

| |

|Lorsqu'ils consomment de l'ecstasy, les usagers disent qu'ils gobent. |

|Un comprimé d'ecstasy contient de quelques milligrammes à plus de 200 mg|

|de MDMA. La composition d'un comprimé présenté comme étant de l'ecstasy |

|est souvent incertaine : la molécule MDMA n'est pas toujours présente et|

|peut être mélangée à d'autres substances : amphétamines, analgésiques |

|(substance qui atténue ou supprime la douleur), hallucinogènes, |

|anabolisants. L'ecstasy peut également être coupé avec de la caféine, de|

|l'amidon, des détergents, du savon… ! |

Effets et dangers de l'ecstasy

Les usagers d'ecstasy recherchent la sensation d'énergie, de performance et

la suppression de leurs inhibitions (les blocages, les défenses et les

interdictions tombent). A l'effet de plaisir et d'excitation s'ajoute une

sensation de liberté dans les relations avec les autres. L'ecstasy provoque

tout d'abord une légère anxiété, une augmentation de la tension artérielle,

une accélération du rythme cardiaque et la contraction des muscles de la

mâchoire ; la peau devient moite, la bouche sèche. Suit une légère

euphorie, une sensation de bien-être et de plaisir. Elle s'accompagne d'une

relaxation, d'une exacerbation des sens et d'une impression de comprendre

et d'accepter les autres.

L'usage de l'ecstasy provoque une déshydratation de l'organisme. La

consommation régulière d'eau est nécessaire, surtout si le consommateur se

trouve dans une ambiance surchauffée et fait un effort physique important.

Cette substance devient plus dangereuse si elle est consommée simultanément

avec d'autres substances psychoactives (alcool, médicaments). Le risque de

complication semble augmenter avec la dose " gobée ", la composition du

produit et la vulnérabilité de l'usager. Les personnes qui suivent un

traitement médical s'exposent à des effets dangereux par les interactions

médicamenteuses qui peuvent se produire, notamment avec certains

médicaments anti-VIH, l'aspirine et certains antidépresseurs.

La consommation d'ecstasy est particulièrement dangereuse pour les

personnes qui souffrent de troubles du rythme cardiaque, d'asthme,

d'épilepsie, de problèmes rénaux, de diabète, d'asthénie (fatigue) et de

problèmes psychologiques.

Il arrive que l'usager ressente, trois ou quatre jours après la prise, des

passages à vide qui peuvent provoquer des états d'anxiété ou de dépression

nécessitant une consultation médicale.

Une consommation régulière et fréquente amène certains à maigrir et

s'affaiblir ; l'humeur devient instable, entraînant parfois des

comportements agressifs. Pour quelques-uns, cette consommation peut révéler

ou entraîner des troubles psychiques sévères et durables.

Les dommages de l'ecstasy sur le cerveau sont encore mal connus ; les

travaux scientifiques établissent une possible dégénérescence des cellules

; elle pourrait être irréversible et entraîner à terme des maladies

dégénératives comme la maladie de Parkinson ou des troubles cognitifs

responsables d'une dépression.

Ecstasy et dépendance

Chez certains usagers, l'ecstasy peut provoquer une dépendance psychique.

Pour ce qui concerne la dépendance physique, les appréciations varient

selon les experts.

L'ecstasy est un produit illicite.

La MDMA a été synthétisée par les laboratoires Merck en 1912 qui avaient

engagé des recherches dans un but militaire : il s'agissait de

potentialiser certains effets des amphétamines (effets coupe-faim et contre

le sommeil). L'ecstasy n'a jamais obtenu d'autorisation de mise sur le

marché. On a ponctuellement utilisé la MDMA en psychiatrie dans les années

1970 en Californie. Cette pratique a été rapidement interrompue au vu des

dommages qu'elle causait. A partir des années 70 aux Etats Unis et plus

récemment en Europe, la MDMA est utilisée à des fins récréatives, lors de

soirées et de raves parties. L'usage d'ecstasy est en constante

progression.

le LSD

Ñòðàíèöû: 1, 2, 3, 4


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